Le Défi du Ventoux - Trophée Eric Caritoux
Publié le 29 mai 2008 par Thierry
Hé oui, la date approche... il ne reste plus qu'un mois pour se préparer à affronter le "Géant de Provence". Pensez à réserver le week-end du 28 juin, le 28 pour l'ascension du Ventoux, le 29 pour récupérer...quant au vendredi soir, pas question d'accompagner les copains en discothèque, car il va falloir être matinal : inscription à partir de 7h. Le parcours Villes sur Auzon-Bédoin sera neutralisé et se fera en groupe, histoire de se mettre tranquillement en jambes ; puis, à chacun son rythme à partir de Bédoin, au km zéro. Un film de l'évènement sera réalisé grâce à la présence, à moto, de deux caméramans d'Eurosport ; le DVD sera proposé aux participants (envoyé à domicile).
Cette première édition du Défi du Ventoux sera, pour les passionnés de vélo et de montagne, l'occasion de partager une matinée sympathique sur le toit de la Provence... même si cela risque d'être titanesque pour certains...
L'occasion aussi de bavarder avec d' "anciennes gloires" puisqu'Eric, bien sûr, mais aussi Henry Anglade et Jean Pierre Danguillaume seront présents pour cet évènement.
L'occasion, enfin, de découvrir la cuvée spéciale de la cave TerraVentoux.
Le CVC Montfavet, organisateur de cette randosportive, remercie la Société GSF (Entreprise de nettoyage industriel à l'origine du projet), la cave TerraVentoux, Carrefour-La Courtine (Avignon), l'Européenne d'Embouteillage (Châteauneuf de Gadagne) et les municipalités de Villes sur Auzon et Bédoin, ainsi que Carrefour-LaCourtine pour leur aide précieuse.
Rendez-vous donc samedi 28 juin à 7h sur le parking de la cave TerraVentoux de Villes sur Auzon. Plus nous serons nombreux, plus la fête sera belle et plus les organisateurs auront à coeur de péréniser cet évènement.
Pour plus d'infos : voir rubrique "Calendrier sportif" (mois de juin).
Photo : Eric Caritoux au départ de l'étape Carpentras-Mont Ventoux, le 19 juillet 1987. Affaibli par une bronchite, il finira 37e de ce CLM (en 1h27 tout de même...) remporté, tout le monde s'en souvient, par Jean François Bernard.
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